L’investissement Girardin se fait exclusivement en outremer par des contribuables fiscalement établis en France dans le but de supprimer une importante partie de leur impôt sur le revenu. Cet investissement se traduit par le financement de l’achat d’un matériel ou d’un bien d’équipement neuf qui sera affecté à l’exploitation d’une PME basée dans les DROM COM. Comment s’opère le choix dudit matériel ?
Investir du capital dans une société de portage
Souscrire au dispositif Girardin, c’est placer du capital dans une société de portage dont la forme juridique la plus courante est la SNC, société en nom collectif. D’autres associés injectent leur apport pour le financement du matériel ou du bien d’équipement.
Le choix de la PME par rapport à son secteur d’activité
La première étape consiste avant tout à sélectionner la PME qui intègrera le circuit Girardin, puisque c’est celle-ci qui va louer ledit matériel pendant une durée déterminée, et qui est de 5 ans, conformément à la loi. Ce ne sont pas toutes les PME qui sont éligibles, mais seulement celles exerçant dans les secteurs d’activité également prédéfinis selon la règlementation en vigueur. Par conséquent, le matériel ou le bien d’équipement sera conforme à son domaine de spécialisation puisque le but est de propulser l’entreprise dans son essor sur le moyen et le long terme.
Le choix du matériel
Celui-ci doit être neuf et de préférence sous garantie pendant plusieurs années afin que toutes les parties prenantes engagées dans le mécanisme puissent honorer la période d’engagement de 5 ans. Ce qui garantit la défiscalisation définitive de l’investisseur. En effet, en cas de défaut d’exploitation de l’entreprise ou de défaillance de l’opération, cette réduction d’impôt est remise en question, sans écarter l’éventualité de sa restitution auprès de l’administration fiscale.
Pour conclure, la solidité et l’efficacité du montage repose donc sur un spécialiste Girardin : toutes les informations avec le groupe profina.